Ni mots ni regards. C’est le silence et l’ignorance qu’a choisis Zlatan Ibrahimovic devant la presse après le premier triplé de sa carrière en Ligue 1. Sans doute parce qu’il n’y avait plus grand-chose à dire après son nouveau récital sur le terrain. Principal artisan du brillant succès du PSG mardi à Valenciennes (0-4), la star suédoise poursuit son début de saison affolant. Avec 17 buts en seulement 17 matchs, Ibra n’est déjà plus qu’à quatre unités du total d’Olivier Giroud, meilleur buteur de Ligue 1, la saison passée. Le pire dans l’histoire, c’est que plus personne ne s’en étonne. « On l’a appelé dans le vestiaire Inzaghi Zlatan. J’espère qu’il va continuer sur ce rythme là», sourit Mamadou Sakho, un défenseur parisien chambreur vus les trois buts de renard de surface inscrits par le Suédois (28e, 48e, 52e), Lavezzi (82e) se chargeant du final.
Ancelotti : «La mentalité a changé»
Non, ce qui a changé à Paris, c’est que tout le monde s’est désormais mis au niveau d’Ibrahimovic. Après avoir étrillé Evian samedi (4-0), Paris a remis ça dans les mêmes largeurs quatre jours plus tard à Valenciennes. Ballottés une demi-heure par des Nordistes joueurs et jusque ici invaincus sur leur pelouse, les Parisiens ne se sont jamais affolés avant de punir le VAFC. Solide derrière, efficace devant, ce Paris-là n’a pas de failles. Difficile de croire qu’il y a seulement dix jours le club était en crise après une défaite à Nice (2-1). «Depuis, la mentalité des joueurs a changé. Ils ont commencé à jouer ensemble et à mettre leurs qualités au service de l’équipe. C’était la clé», se réjouit Carlo Ancelotti, l’entraîneur parisien. Repositionnés dans un 4-4-2 dévastateur, les Parisiens semblent enfin lancés dans une Ligue 1 qu’ils devaient dominer de la tête et des épaules en début de saison. Si le suspense existe encore pour cause de retard à l’allumage, il pourrait bien disparaître dimanche dans un match au sommet contre le leader lyonnais. Une rencontre dans laquelle «le PSG est favori car on joue à domicile», reconnaît Ancelotti. Pour ça et pour plein d’autres choses aussi…
Ancelotti : «La mentalité a changé»
Non, ce qui a changé à Paris, c’est que tout le monde s’est désormais mis au niveau d’Ibrahimovic. Après avoir étrillé Evian samedi (4-0), Paris a remis ça dans les mêmes largeurs quatre jours plus tard à Valenciennes. Ballottés une demi-heure par des Nordistes joueurs et jusque ici invaincus sur leur pelouse, les Parisiens ne se sont jamais affolés avant de punir le VAFC. Solide derrière, efficace devant, ce Paris-là n’a pas de failles. Difficile de croire qu’il y a seulement dix jours le club était en crise après une défaite à Nice (2-1). «Depuis, la mentalité des joueurs a changé. Ils ont commencé à jouer ensemble et à mettre leurs qualités au service de l’équipe. C’était la clé», se réjouit Carlo Ancelotti, l’entraîneur parisien. Repositionnés dans un 4-4-2 dévastateur, les Parisiens semblent enfin lancés dans une Ligue 1 qu’ils devaient dominer de la tête et des épaules en début de saison. Si le suspense existe encore pour cause de retard à l’allumage, il pourrait bien disparaître dimanche dans un match au sommet contre le leader lyonnais. Une rencontre dans laquelle «le PSG est favori car on joue à domicile», reconnaît Ancelotti. Pour ça et pour plein d’autres choses aussi…